Nettoyage de son arbre généalogique
et initiation à la clinique des ancêtres

Animé par Bruno Clavier, Alix Merckx, Isabelle Montagne et Ossian Perez
Prix : 350 euros par module de 2 jours
Qu'est-ce que la clinique des ancêtres ?
La clinique des ancêtres consiste à soigner notre arbre généalogique de ses « fantômes ».
Dans la psychanalyse transgénérationnelle, le concept de « fantôme » ne désigne pas le défunt.
Il désigne une structure énergétique et émotionnelle pathogène qui se transmet dans la succession des générations et parasite le système de représentations des descendants.
Les fantômes s’expriment ainsi dans les phénomènes de hantise (les passages à l'acte incestueux ou suicidaires, les accidents qui se reproduisent à l’identique dans les lignées, les meurtres passionnels, le fanatisme religieux, les actes manqués ou compulsifs en tout genre, etc.).
Ils peuvent aussi engendrer toutes sortes de somatisations et être à l’origine de la plupart des troubles psychotiques.
Le plus souvent, comprendre quels sont nos fantômes transgénérationnels ne suffit pas à en annihiler leurs effets dans notre existence.
Aussi, nous proposons au Jardin d’idées, ce travail de « nettoyage » de l’arbre en utilisant le chamanisme amérindien couplé avec la technique de la Communication Profonde.
Déroulement des journées
Le travail alternera entre des journées d’exercices chamaniques et des journées d’exploration de son arbre.
On commencera par reprendre le travail fait sur sa généalogie, afin d’y schématiser les structures fantomatiques qui l’encombrent.
On fera ensuite appel à la communication profonde pour comprendre comment nos ancêtres résonnent en nous et au chamanisme pour dissoudre ces structures fantomatiques par des rituels adaptés.
À qui ce travail est proposé
À tous ceux qui ont exploré leur arbre avec nous dans les « journées d’initiation à la psychanalyse transgénérationnelle et la construction de l'arbre », ainsi qu’à ceux qui l’ont exploré ailleurs (en privé avec l’un d’entre nous ou un autre thérapeute) mais de la façon dont nous le faisons au Jardin d’idées (en ayant repéré les fantômes qui le parasitent dans ses quatre lignées grand-parentales, c’est-à-dire sur six ou sept générations).